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caractère du scenario - Rebelle. Il n'y a pas d'autres mots pour le qualifier. Systématiquement dans l'excès, il est surtout une âme solitaire tout comme un être irresponsable et porté sur la bouteille (un peu, juste un peu ) Un brin séducteur, il n'est pas du genre à se 'taper tout ce qui bouge', mais il aime surtout lorsque les femmes lui résistent. (bon a savoir hein x)).

✖ parle nous de l' histoire du scenario. vous pouvez tout savoir de lui en suivant simplement ce lien - http://fr.wikipedia.org/wiki/Johnny_Depp .

✖ et alors, ce fameux lien ?.

« tu m'fais chier Kate. Sérieux, t'es une putain d'emmerdeuse. » Le regard sombre, assise sur le lit de cette chambre d'hôtel au luxe probant, Kate serrait les points pour ne pas laisser la colère la submerger. «et toi t'es con ! J'préfère encore être chiante. Tu passes tout ton temps sur tes putains de tournage, et moi alors, j'existe pas ? » Elle n'avait pas tardé à se lever, vrillant son regard agacé dans celui de l'homme qu'elle aimait éperdument. Oui, elle l'aimait, à en crever. Pourtant, il n'y avait pas de relation plus destructrice que celle-là. Epiés par les paparazzis, Kate et John ne laissaient pas dicter leur vie par ses parias de journalistes, mais ils les détruisaient petit à petit. « T'accorder plus d'attentions ? Pourquoi faire ? Pour avoir un oeil constant sur tes nouveaux amants ? Tu crois que j'suis aveugle au point de pas m'apercevoir que tu m'trompes tous les soirs ? » Un brin paranoiaque lorsqu'il s'agissait de sa belle, John laissa la colère le gagner. Elle ne l'avait jamais trompé. L'idée ne lui avait même pas effleuré l'esprit. Elle l'aimait beaucoup trop pour ça. Mais dans leur relation, les on-dits prenaient toute la place, les détruisait à petit feu. Il rentrait chaque soir énervé, terrifié à l'idée de la perdre, et elle subissait ses sautes d'humeur tout autant qu'elle les alimentait. « bien sur, j'me tape tous les grands acteurs du moment. Brad Pitt, George Clooney, Orlando Bloom. Oh, ton cher Orlando. Ils y sont tous passés. Tu crois quoi, que t'as l'exclusivité sur mon corps ? Tu rêves ! » Un éclair de furie passa dans les yeux de John, un grognement s'échappa de ses lèvres alors qu'il brisait le vase extra-cher de la grande suite qui devenait le nouveau théatre de leur dispute. « Si j'te suffis pas, t'as qu'à te barrer ! Vas-y, chez ses si bons amants, casse toi et ne reviens pas ! Qu'est-ce qui te retient, hein ? » « Et j'ferais quoi sans toi, Johnny ? » « Va faire les trottoirs, ça te va si bien ! » La main de la jeune mannequin s'abattit sur son visage dans un bruit sourd, une main qu'il ne laissa pas s'échapper. Avec violence, il la poussa jusqu'au lit, et c'est une nuit torride, salace qui s'ensuivit. Et alors que leurs souffles saccadés rompaient allégrement le silence, Kate songeait au lendemain. Ils s'afficheraient, main dans la main, fermement amoureux. Odieusement amoureux. Amoureux d'une relation pourrie jusqu'à la moelle mais... si bonne !